GENEALOGIE

Métiers ruraux. Artisanat et services. Métiers de l'alimentation.

Archives et Culture

Certains métiers d'antan racontés dans ce livre sont toujours présents dans notre imaginaire, même s'ils n'existent plus. Par exemple la fileuse de laine, qui évoque pour les petits les contes merveilleux et pour les plus âgés la grand-mère de leur enfance ; ou le garde-champêtre des images d'Épinal...D'autres ont disparu même de nos mémoires. Un ancien bourrelier, guide d'un éco-musée, avait pleuré en entendant un enfant demander : "Un bourrelier, qu'est-ce que c'est ?". Sur le livre d'or d'une ferme 1900 reconstituée, une écolière avait écrit : "C'est très bien fait, on se croit vraiment au Moyen Âge !". Pourtant c'était hier. C'étaient les métiers de nos grands-parents ou de leurs contemporains. Le XXe siècle a englouti un monde pour en faire surgir un autre. Meilleur ? Aux générations qui nous suivent de le dire.D'autres sont des métiers éternels : le boulanger, le charcutier, le fromager... seront toujours parmi nous. Et leurs témoignages sont réjouissants : ils sont heureux de leur artisanat, heureux d'aller travailler pour ceux qui sont encore actifs, fiers de ce qu'ils ont réalisé pour les anciens. Pas forcément parce qu'ils ont fait fortune. Mais parce qu'ils ont eu une belle vie. Le travail bien fait serait-il le secret du bonheur ?Une partie de la réponse se trouve peut-être dans l'ouvrage...


8,40

Si l'on a souvent évoqué la vie des poilus, qui a parlé des autres? Des femmes, des fiancées, des veuves travaillant aux champs ou en usine dans l'attente? Des enfants jouant aux soldats de plomb et aux poupées habillées en infirmière? Des gendarmes et des maires qui, chaque matin, recevaient les funestes télégrammes?

A l'aide de 200 témoignages inédits, ce livre reconstitue la vie quotidienne du premier conflit mondial: familles séparées, transplantées, brouillées, ruinées (ou enrichies); couples unis, désunis, réunis; familles victimes de la grippe espagnole ou divisées entre deux camps; familles de l'après-guerre aussi, confrontées au deuil et à leurs blessures.

Un ouvrage qui mesure l'impact de la Grande Guerre sur le destin de nos ancêtres et, par ricochet, sur le nôtre.


Avec de nombreuses ressources d'Internet.

Archives et Culture

Vous avez des ancêtres anglais ou des branches de votre famille qui se sont autrefois fixées en Grande-Bretagne ? Ce livre est fait pour vous accompagner de façon pratique dans vos démarches généalogiques. Il décrit l'organisation des archives britanniques, l'état civil, les registres paroissiaux, les recensements, les recherches en fonction de la religion ou du statut de vos ancêtres... Il détaille les bases de données en ligne, accessibles à distance et particulièrement nombreuses au Royaume-Uni, tant gratuites que payantes, tant générales que spécialisées, avec les différentes façons de les utiliser. Si vous êtes habitué aux démarches généalogiques en France, ce guide vous familiarise aussi avec une méthodologie différente. Car chercher ses ancêtres en Angleterre, ce n'est pas poursuivre de l'autre côté de la Manche des modes d'enquête auxquels on est habitué dans les fonds d'archives français, c'est véritablement travailler de façon différente. Pour donner un exemple, l'état civil apporte si peu d'informations que les Britanniques font l'essentiel de leurs recherches généalogiques sur le XIXe siècle à travers les recensements. À nouveau pays, nouvelles méthodes, qu'il faut découvrir.Bonne découverte... and good luck dans vos recherches !


Vous avez perdu la trace de vos ancêtres et vous ne savez pas de quelle localité ils sont originaires  ? Vous voulez savoir avec qui vivait votre arrière grand-mère qui a eu un enfant sans être mariée  ? Vous voulez connaître le nombre de domestiques à demeure chez votre richissime aïeul  ?... Les recensements anciens peuvent répondre à toutes ces questions, mais de façon plus ou moins précise selon les époques.Où trouver les recensements  ? Comment les explorer  ? Comment en tirer le maximum d'informations généalogiques  ? Ce guide pratique vous l'indique pas à pas.Pourquoi les recensements  ?

Dresser une généalogie, c'est un jour ou l'autre s'intéresser aux recensements nominatifs. Ils servent bien sûr à contourner des lacunes d'état civil en offrant de nouvelles pistes : un nom de jeune fille, un lieu de naissance... Mais ils étoffent aussi les biographies familiales car ils reconstituent les maisonnées et précisent le nombre de domestiques (même un modeste fermier pouvait en avoir), les moyens de subsistance (votre ancêtre âgé vivait-il « de la charité de sa fille »  ? la veuve sans enfant attendait-elle les aumônes  ?...), parfois l'état de santé (« imbécile », infirme), autant d'éléments que vous ne trouverez jamais ailleurs. Enfin, ils peuvent vous aider à résoudre des énigmes, montrant par exemple que la fille mère de 1845 vivait avec un concubin, que votre aïeul orphelin avait été élevé par son oncle et non par son grand-père, que tel héritier était un enfant trouvé, etc.Et si l'on remonte le temps  ?

On dit souvent que les recensements nominatifs ne commencent qu'en 1926 à Paris et en 1836 dans le reste de la France. C'est faux, il en existe bien plus tôt, y compris sous l'Ancien Régime, mais, avant ces dates, il n'y en a pas deux semblables. La recherche en archives s'apparente à l'ouverture d'une pochette surprise : les documents peuvent manquer, n'apporter que de maigres éléments ou davantage d'informations que les meilleurs recensements du XXe siècle ! À Paris, des sources de substitution couvrent la période 1852-1900. Et ailleurs  ?

Enfin, dans cette seconde édition augmentée, une dernière partie aborde les recensements
qu'il est possible de trouver pour de nombreux pays étrangers, sur place ou à distance.Pas à pas, en fonction du lieu, de l'époque mais aussi de ce que vous cherchez, ce guide vous accompagne dans votre démarche pour étoffer votre arbre généalogique.


Pour decouvrir toutes les base de donnees du site. pour retrouver ses ancetres e

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