- EAN13
- 9782742708918
- ISBN
- 978-2-7427-0891-8
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 04/06/1999
- Collection
- LITTERATURE GRE
- Nombre de pages
- 216
- Dimensions
- 21,8 x 11,5 x 1,7 cm
- Poids
- 220 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- grec moderne (après 1453)
- Code dewey
- 889.334
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Vacances dans le Caucase
De Maria Iordanidou
Traduit par Leukī́́́́́ Molfésī
Actes Sud
Litterature Gre
Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commander
Un beau matin de juillet 1914, Anna, quinze ans, quitte Constantinople, la maison familiale et sa chère grand-mère, Loxandra, pour aller passer un mois de vacances à Stavropol, dans le Caucase.
Elle reviendra cinq ans plus tard, après avoir vécu la mobilisation, la guerre, la révolution russe et la guerre civile...
Les vacances à vrai dire n'ont pas eu le temps de commencer : dans la confusion générale, l'adolescente perd la trace de sa tante à la gare de Batoum, d'où elles devaient partir toutes deux. Après deux mois d'errance, elle se retrouve finalement à Stavropol, devient professeur d'anglais alors qu'elle en possède à peine quelques rudiments, apprend le russe, la cuisine slave, fait siennes les habitudes de ses nouveaux amis, tombe même amoureuse, et tire son épingle du jeu de la grande Histoire.
Une telle adaptabilité, une telle mobilité, une telle bonne humeur aussi — que soulignent la verve et l'humour du récit — ne laissent pas de nous ravir, de nous surprendre, parfois de nous méduser, d'autant qu'il s'agit là... de la propre histoire de Maria Iordanidou, qui fut elle-même la spectatrice effarée et éblouie qu'elle met en scène avec cette simplicité, et cette forme d'inconscience que seuls déploient les vrais héros.
Elle reviendra cinq ans plus tard, après avoir vécu la mobilisation, la guerre, la révolution russe et la guerre civile...
Les vacances à vrai dire n'ont pas eu le temps de commencer : dans la confusion générale, l'adolescente perd la trace de sa tante à la gare de Batoum, d'où elles devaient partir toutes deux. Après deux mois d'errance, elle se retrouve finalement à Stavropol, devient professeur d'anglais alors qu'elle en possède à peine quelques rudiments, apprend le russe, la cuisine slave, fait siennes les habitudes de ses nouveaux amis, tombe même amoureuse, et tire son épingle du jeu de la grande Histoire.
Une telle adaptabilité, une telle mobilité, une telle bonne humeur aussi — que soulignent la verve et l'humour du récit — ne laissent pas de nous ravir, de nous surprendre, parfois de nous méduser, d'autant qu'il s'agit là... de la propre histoire de Maria Iordanidou, qui fut elle-même la spectatrice effarée et éblouie qu'elle met en scène avec cette simplicité, et cette forme d'inconscience que seuls déploient les vrais héros.
S'identifier pour envoyer des commentaires.