EAN13
9782824004174
ISBN
978-2-8240-0417-4
Éditeur
Editions des Régionalismes
Date de publication
Collection
HC REGI
Séries
Contes e racontes provençaus (1)
Nombre de pages
187
Dimensions
24 x 16 cm
Poids
385 g
Langue
multilingue
Langue d'origine
occitan (après 1500)
Fiches UNIMARC
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1 - Prose d'almanach & nouvelle prose d'almanach

De

Traduit par

Editions des Régionalismes

Hc Regi

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Tirés de la Prose d’Almanach et de la première partie de la Nouvelle Prose d’Almanach, voici le premier (de deux tomes) consacré à la prose de Frédéric Mistral. Sous-titrés « contes, récits, fabliaux, sornettes de ma mère l’oie, légendes, facéties, devis divers », tirés de l’Armana Prouvençau ou de l’Aiòli, deux des principales revues en langue d’oc du temps de Mistral, dans lesquelles le maître de Maillane collaborait sous divers pseudonymes, ces pièces sans prétention littéraire, correspondent à la culture populaire et à la langue d’oc quotidiennement parlée alors. La version bilingue ici proposée avec le texte provençal en premier avec la traduction française en dessous permettra à chacun d’apprécier au mieux suivant ses “compétences” linguistiques ces Contes et Récits..., jamais réédités depuis les années 1920 !« La prose de Mistral est une merveille de justesse et de pittoresque sobre ; elle saisit sur le vif le langage même du peuple, le magnifie, en illustre les idiotismes et les tournures propres. Le poète applique à la transcription du conte, la méthode géniale qui lui sert à revivifier la chanson populaire : après qu’il les a maniés, conte et chanson deviennent des types essentiels, expriment de façon définitive les élans et les aspirations, les tristesses et les joies de l’âme populaire [...] Ces contes, ces récits, Mistral les a entendus, enfant, aux lèvres de sa mère ; il les a suivis dans les veillées d’hiver du temps passé dont il nous donne un tableau saisissant dans ses Mémoires... » (extrait de la préface de P. Devoluy).Frédéric Mistral (1830-1914), né et mort à Maillane (Bouches-du-Rhône), est l’infatigable artisan de la renaissance de la langue d’oc — à partir du milieu du XIXe siècle, en co-fondant le Félibrige en 1854 et en publiant un monumental dictionnaire des parlers d’oc, Lou Tresor dóu Felibrige. Mais c’est son œuvre littéraire (couronnée par un Prix Nobel, en 1904) qui donnera — huit siècles après les premiers Troubadours d’oc — ses véritables lettres de noblesse à l’occitan, dans sa variante provençale.
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