Les Portes de Québec T3, Le prix du sang
EAN13
9782896474202
Éditeur
Éditions Hurtubise
Date de publication
Collection
Roman historique
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Les Portes de Québec T3

Le prix du sang

Éditions Hurtubise

Roman historique

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782896473854
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    6.49

  • Aide EAN13 : 9782896474202
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    6.49
Le roman s’ouvre sur le naufrage de l’Empress of Ireland, le 29 mai 1914, dont
Alfred Picard est l’une des nombreuses victimes. Avec l’aide de ses enfants,
Marie assumera l’avenir du commerce. Maintenant adolescente, Thalie désire
devenir médecin, un rêve presque impossible pour une Canadienne française de
l’époque. Mathieu, de son côté, poursuit ses études dans le but d’être
avocat.L’autre famille Picard, celle de Thomas, continue de vivre avec les
conséquences des événements survenus en 1908. Les funérailles d’Alfred
fournissent l’occasion à Fernand Dupire de renouer avec Eugénie. Son jeune
frère Édouard, enfin libéré des études classiques, a entrepris son
apprentissage de futur commerçant au détail et courtise une jeune beauté du
Faubourg Saint-Roch.Le calme relatif de ces existences se trouve bouleversé
par le déclenchement de la Première Guerre mondiale, pendant l’été 1914.
Durant des mois, la vie ne semble guère différente, excepté les emplois
devenus plus nombreux. Mais l’enlisement du conflit rend bientôt probables des
mesures de conscription. Les nationalistes de langue française s’opposent de
façon véhémente à cette éventualité, alors que les Canadiens de langue
anglaise exigent qu’ils partagent avec eux le «prix du sang». Mathieu et
Édouard sont en âge de grossir les rangs de l’armée. Le premier verra de près
la boucherie; le second tentera d’y échapper, préférant les plaisirs de la vie
bourgeoise et de la chair aux horreurs de la guerre.À la fin du mois de mars
1918, alors que la tension est à son comble, les militaires tirent sur la
foule. Le sang coule dans les rues de la Basse-Ville. Le prix du sang, les
Canadiens ne le paieront pas qu’en Europe.
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