Saphir Antalgos, travaux de terrassement du rêve, Le travail du rêve dans la ville et ses signes, quand il interfère avec notre vie parmi les autres.
EAN13
9782814502970
Éditeur
PublieNet
Date de publication
Collection
Temps Réel
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Saphir Antalgos, travaux de terrassement du rêve

Le travail du rêve dans la ville et ses signes, quand il interfère avec notre vie parmi les autres.

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Le rêve et la vie quotidienne. Le rêve qui se glisse à cause de la ville, à
cause des enfants, à cause des métiers, des noms, des visgaes croisés dans le
jour.

Et si le rêve alors nous aidait à mieux les comprendre, les proches ou les
inconnus de la ville ? A mieux se connaître soi-même, par les peurs et les
désirs, les glifles et les chutes, ou ces conversations avec mots étranges ?

C'est à cette exploration que nous convie Cécile Portier – une traversée de
soi-même, faite chantier d'écriture, et c'est le fantastique qui surgit. Pas
besoin d'horreur ni de surnaturel : et si c'était plutôt ce dérèglement du
monde le plus familier, qui était susceptible de nous perturber le plus, et
nous emporter dans le conte ?

Terrassement c’est un mot à double usage : la première phase d’un chantier, la
préparation du sol pour les fondations, et puis aussi l’affrontement du
monstre, sa mise à terre.

Ce texte ne travaille pas sur le rêve – et on sait bien comme rien n'est
monotone comme un rêve écrit. C'est un avec, ou dans le rêve.Le texte qu’on
propose ici est plutôt un chemin dans la ville qui nous cerne, où l’énigme
s’accroît à mesure que le récit s’ordonne, avance. Il joue de ses strates
d’écriture : les récits de rêve intégrés à même le discours de la narratrice
qui commente, se construit dans le danger qu’elle nomme. Et c’est incisé de
textes bruts : cartes de visites punaisées à même le texte, pour entrer avec
toute la ville dans cette dénomination Saphir Antalgos : reprenez, en même
temps que vous lirez ce texte, le Paysan de Paris d’Aragon, et les signes et
inscriptions relevées dans le passage sous verrière...

Cela fait écho au surréalisme, celui de Nadja et du Paysan? Et pourquoi pas,
justement, si c'est notre présent qu'on y rejoue...

FB

Sur Saphir Antalgos, la lecture de Sereine Berlottier dans remue.net – et
suivre Cécile Portier sur son site Petite Racine.
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