- EAN13
- 9782600311038
- Éditeur
- Droz
- Date de publication
- 06/2008
- Collection
- Cahiers d'Humanisme et Renaissance
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782600311038
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17.99
Alain Dufour publie la Correspondance de Théodore de Bèze depuis 1962. Ce
fidèle compagnonnage avec le successeur de Jean Calvin le désignait plus que
quiconque pour signer une «Vie de Bèze» qui mène du Paris de François Ier où
le jeune humaniste écrivit ses Juvenilia parfois religieux et souvent
licencieux, à Lausanne et à Genève, où, à la suite d’une crise religieuse très
intense (1548), le poète se fit réformateur. On le voit combattre les
papistes, mais aussi les luthériens, rompre des lances en faveur de la
prédestination, inspirer l’organisation et la vie des églises réformées de
France et d’ailleurs, en écrire l’histoire aussi, sans cesser de faire des
vers dès qu’il en a le loisir. Un chapitre est consacré à la poésie et à
l’image (autour des Icones et des Emblemata), pour rappeler que Bèze n’a cessé
d’être un poète, jusqu’à la fin de ses jours, avec le sens très vif de
l’image, de même qu’il a été historien et théologien, n’ayant de cesse de
comprendre le monde et sa propre existence comme le théâtre de la Providence.
fidèle compagnonnage avec le successeur de Jean Calvin le désignait plus que
quiconque pour signer une «Vie de Bèze» qui mène du Paris de François Ier où
le jeune humaniste écrivit ses Juvenilia parfois religieux et souvent
licencieux, à Lausanne et à Genève, où, à la suite d’une crise religieuse très
intense (1548), le poète se fit réformateur. On le voit combattre les
papistes, mais aussi les luthériens, rompre des lances en faveur de la
prédestination, inspirer l’organisation et la vie des églises réformées de
France et d’ailleurs, en écrire l’histoire aussi, sans cesser de faire des
vers dès qu’il en a le loisir. Un chapitre est consacré à la poésie et à
l’image (autour des Icones et des Emblemata), pour rappeler que Bèze n’a cessé
d’être un poète, jusqu’à la fin de ses jours, avec le sens très vif de
l’image, de même qu’il a été historien et théologien, n’ayant de cesse de
comprendre le monde et sa propre existence comme le théâtre de la Providence.
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