- EAN13
- 9782336439037
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 09/05/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La convention sino-congolaise
Modèle de financement des infrastructures pour le développement de la République démocratique du Congo ?
Annicha Bualankay Bonsili
L'Harmattan
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782336439037
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28.99
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La République Démocratique du Congo est confrontée à des défis énormes :
aggravation de la pauvreté, sous-développement dus notamment au manque
d’infrastructures de transport, d’équipement... L’auteure dresse un bilan sur
la coopération asymétrique entre la R. D. Congo et un groupe d’entreprises
chinoises en décelant les faiblesses dans la contractualisation des relations
d’affaires entre les deux parties. Elle s’interroge sur le modèle de financement
des infrastructures du développement qui serait profitable à la République
Démocratique du Congo.
En effet, la Convention sino-congolaise a fait l’objet de controverses sur le
déséquilibre des rapports entre les parties, car la partie chinoise a plus
gagné que l’Etat congolais. Et pourtant, ce partenariat novateur, inspiré des
conventions de partenariat public-privé, était censé répondre à l’insuffisance
des financements traditionnels pour le développement du pays.
L’ouvrage éclaire sur les conditions de conclusion de ce contrat jugé
défavorable à la partie congolaise. L’auteure propose de repartir sur une
base assainie à la suite de la renégociation de la Convention, afin de
rétablir l’équilibre.
*[XVIIIe]: 18e siècle
aggravation de la pauvreté, sous-développement dus notamment au manque
d’infrastructures de transport, d’équipement... L’auteure dresse un bilan sur
la coopération asymétrique entre la R. D. Congo et un groupe d’entreprises
chinoises en décelant les faiblesses dans la contractualisation des relations
d’affaires entre les deux parties. Elle s’interroge sur le modèle de financement
des infrastructures du développement qui serait profitable à la République
Démocratique du Congo.
En effet, la Convention sino-congolaise a fait l’objet de controverses sur le
déséquilibre des rapports entre les parties, car la partie chinoise a plus
gagné que l’Etat congolais. Et pourtant, ce partenariat novateur, inspiré des
conventions de partenariat public-privé, était censé répondre à l’insuffisance
des financements traditionnels pour le développement du pays.
L’ouvrage éclaire sur les conditions de conclusion de ce contrat jugé
défavorable à la partie congolaise. L’auteure propose de repartir sur une
base assainie à la suite de la renégociation de la Convention, afin de
rétablir l’équilibre.
*[XVIIIe]: 18e siècle
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