- EAN13
- 9782257205131
- ISBN
- 978-2-257-20513-1
- Éditeur
- Lavoisier
- Date de publication
- 05/05/2014
- Collection
- OPHTALMOLOGIE
- Nombre de pages
- 234
- Dimensions
- 26 x 18,5 x 1,1 cm
- Poids
- 846 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Autre version disponible
L’inflammation de la rétine est le plus souvent en
rapport avec les uvéites et représente l’atteinte la plus
sévère de ce groupe de maladies hétérogènes et complexes, responsables
de 10 à 15 % des cécités.
Ce volume détaille différentes sortes d’inflammations ou d’infections.
Le chapitre des rétinites traite, d’une part, des rétinites
infectieuses et, d’autre part, des atteintes rétiniennes consécutives à
une inflammation choroïdienne ou vasculaire inflammatoire ou autoimmune.
L’évocation première des rétinites ou choriorétinites infectieuses ne
tient pas au fait de leur fréquence, mais à l’absolue nécessité d’en
rechercher l’éventuelle implication avant de pouvoir considérer un
traitement anti-inflammatoire. Elle reflète également la reconnaissance
croissante de ces microorganismes au fur et à mesure de la mise à
disposition de nouveaux outilsde diagnostic moléculaire. Les œdèmes
maculaires inflammatoires font l’objet d’un chapitre spécifique. Ces
œdèmes peuvent faire suite à une vascularite, une uvéite, une
inflammation post-opératoire ou une endophtalmie. De nombreuses pages
sont consacrées à l’imagerie de l’inflammation, insistant sur l’apport
de l’OCT et de l’angiographie infrarouge au vert d’indocyanine. Les
traitements de ces différentes atteintes rétiniennes inflammatoires ont
abordés à la fin du volume, avec notamment les données récentes
concernant la place des biothérapies.
Retrouvez l'intégralité
du Coffret rétine en 8 volumes.
rapport avec les uvéites et représente l’atteinte la plus
sévère de ce groupe de maladies hétérogènes et complexes, responsables
de 10 à 15 % des cécités.
Ce volume détaille différentes sortes d’inflammations ou d’infections.
Le chapitre des rétinites traite, d’une part, des rétinites
infectieuses et, d’autre part, des atteintes rétiniennes consécutives à
une inflammation choroïdienne ou vasculaire inflammatoire ou autoimmune.
L’évocation première des rétinites ou choriorétinites infectieuses ne
tient pas au fait de leur fréquence, mais à l’absolue nécessité d’en
rechercher l’éventuelle implication avant de pouvoir considérer un
traitement anti-inflammatoire. Elle reflète également la reconnaissance
croissante de ces microorganismes au fur et à mesure de la mise à
disposition de nouveaux outilsde diagnostic moléculaire. Les œdèmes
maculaires inflammatoires font l’objet d’un chapitre spécifique. Ces
œdèmes peuvent faire suite à une vascularite, une uvéite, une
inflammation post-opératoire ou une endophtalmie. De nombreuses pages
sont consacrées à l’imagerie de l’inflammation, insistant sur l’apport
de l’OCT et de l’angiographie infrarouge au vert d’indocyanine. Les
traitements de ces différentes atteintes rétiniennes inflammatoires ont
abordés à la fin du volume, avec notamment les données récentes
concernant la place des biothérapies.
Retrouvez l'intégralité
du Coffret rétine en 8 volumes.
S'identifier pour envoyer des commentaires.