Ce que je crois ou patchwork impromptu
EAN13
9782371456037
ISBN
978-2-37145-603-7
Éditeur
Petit véhicule
Date de publication
Collection
L'OR DU TEMPS
Nombre de pages
182
Dimensions
21,4 x 21,9 x 1,1 cm
Poids
200 g
Langue
français
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Ce que je crois ou patchwork impromptu

Petit véhicule

L'Or Du Temps

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Dans ce livre subtil et étonnant l’auteur thématise ses réflexions, en faisant le point sur l’homme dans toute sa splendeur lumineuse quand il laisse couler la musique du monde dans son âme. Mais il en connaît les limites qui l’enferment dans ses petitesses. L’État, le pouvoir et ses limites pourraient résumer son propos. Lucien Grand-Jouan exprime dans son premier volume les vertus de son esprit critique, sa lucidité chevillée à sa plume, à la manière d’un Jules Renard. “Aimer le beau, cultiver le bien et chercher le vrai sont les trois mamelles de l’éducation tout comme vomir le laid, fuir le mal et haïr le faux et l’injuste ” est sa ligne de pensée et de conduite éthique. Lucien Grand-Jouan est l’homme du franc-parler. Ce que je crois ou ce patchwork impromptu est un journal de vie, tantôt aphorisme ou proverbe, tantôt court récit ou nouvelle, tantôt poème ou philosophie. Lucien Grand-Jouan est l’homme de Satirix et ce n’est pas rien. Sennep, le dessinateur qui fut témoin des années de l’Assiette au beurre l’encouragea à réaliser son Satirix en revue unique illustrée par un seul dessinateur dans les années soixante-dix. Lucien Grand-Jouan préfigura et ouvrit un chemin avec courage pour la liberté d’expression qui permit plus tard les Charlie Hebdo et compagnie. Lisez le chapitre 38 et vous comprendrez. Lucien penche ses regards sur son passé et une immense tendresse jaillit à nos yeux. Il dit son amitié profonde pour Jules Grand-Jouan, son grand-oncle, l’artiste nantais. Il évoque ses rencontres passionnantes avec Jean Bruller dit Vercors, avec François Lejeune dit Jean Effel, avec Jean Pennes dit Sennep, avec Sinet dit Siné, avec Dubout, avec Claude Serre, avec Pino Zac, Roger Testu dit Tetsu, avec Moisan, avec Solo François, avec Mose, avec Christian Hornbostel, avec Davydoff, avec Jean Meyer, sa référence essentielle. Son père, sa mère, et Emilie sa grand-mère sont dans sa barque comme des sémaphores indestructibles. Lucien Grand-Jouan est un sentimental comme on n’en fait plus. Magdeleine, sa muse est en quelques lignes signalée dans ce beau et sincère livre. Si peu parce qu’elle occupe dans son coeur toute la place.- Luc Vidal
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