- EAN13
- 9782895442851
- Éditeur
- Éditions MultiMondes
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782895442851
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
15.99
«Flibustiers», «McDonald’s de la presse», «journaux jetables», les
journalistes des quotidiens gratuits ont essuyé des salves de gros calibre de
la part de leurs collègues de la presse quotidienne payante lors de leur
apparition en 2001 au Québec et en 2002 en France. Depuis, les clameurs se
sont tues, les esprits se sont apaisés. L’«apocalypse presse» n’a pas eu lieu,
mais les comptes ne sont pas terminés. Il ne se passe pas de mois sans qu’un
nouveau quotidien gratuit soit lancé. Les quotidiens payants sont sur la
défensive : ils intéressent de moins en moins de lecteurs. L’étude de ces
nouveaux journaux gratuits et de leurs effets sur la presse en général est
passionnante. Les gratuits étonnent en ce sens qu’ils ne sont pas si
différents des quotidiens payants. Les Métro et autres 20 Minutes agissent
comme des rouleaux compresseurs. Ces «Attila du papier» soulèvent d’autant
plus d’inquiétudes que personne, avant François Martin et Ludovic Hirtzmann,
n’avait pris le temps de les étudier.
journalistes des quotidiens gratuits ont essuyé des salves de gros calibre de
la part de leurs collègues de la presse quotidienne payante lors de leur
apparition en 2001 au Québec et en 2002 en France. Depuis, les clameurs se
sont tues, les esprits se sont apaisés. L’«apocalypse presse» n’a pas eu lieu,
mais les comptes ne sont pas terminés. Il ne se passe pas de mois sans qu’un
nouveau quotidien gratuit soit lancé. Les quotidiens payants sont sur la
défensive : ils intéressent de moins en moins de lecteurs. L’étude de ces
nouveaux journaux gratuits et de leurs effets sur la presse en général est
passionnante. Les gratuits étonnent en ce sens qu’ils ne sont pas si
différents des quotidiens payants. Les Métro et autres 20 Minutes agissent
comme des rouleaux compresseurs. Ces «Attila du papier» soulèvent d’autant
plus d’inquiétudes que personne, avant François Martin et Ludovic Hirtzmann,
n’avait pris le temps de les étudier.
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