- EAN13
- 9782757414705
- Éditeur
- Presses Universitaires du Septentrion
- Date de publication
- 20/10/2016
- Collection
- Arts du spectacle – Images et sons
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Peindre pour le cinéma
Une histoire du Matte Painting
Réjane Hamus-Vallée
Presses Universitaires du Septentrion
Arts du spectacle – Images et sons
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782757414705
- Fichier PDF, libre d'utilisation
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
14.99
Présent depuis les débuts du cinématographe et traversant toute l'histoire du
cinéma, le Matte Painting permet de combiner en un même plan large un décor
réel et son prolongement sous forme d’une peinture, qu’elle soit réalisée avec
des pinceaux sur du verre ou créée numériquement. Son agencement avec d’autres
plans est si parfait que le spectateur en est rarement conscient. L’illusion
est ainsi complète pour le serment du Jeu de paume de Napoléon d’Abel Gance
(1927), la façade de l’Inquirer de Citizen Kane d’Orson Welles (1940), la
visite d’un musée est-berlinois du Rideau déchiré d’Alfred Hitchcock (1965),
la forêt du Retour du Jedi (Richard Marquand, 1983) ou celle d’Avatar (James
Cameron, 2008)... Cet ouvrage propose une histoire de cette technique, de ses
ancêtres directs à ses différentes technologies cinématographiques. Il analyse
la façon dont les matte painters ont cherché et cherchent toujours à
introduire ce décor truqué en harmonie avec l’esthétique de la mise en scène.
Ainsi, par l’étude du Matte Painting, c’est le rôle des effets spéciaux au
cinéma qui est questionné, au moment où le numérique renouvelle les enjeux
même de l’illusion cinématographique.
cinéma, le Matte Painting permet de combiner en un même plan large un décor
réel et son prolongement sous forme d’une peinture, qu’elle soit réalisée avec
des pinceaux sur du verre ou créée numériquement. Son agencement avec d’autres
plans est si parfait que le spectateur en est rarement conscient. L’illusion
est ainsi complète pour le serment du Jeu de paume de Napoléon d’Abel Gance
(1927), la façade de l’Inquirer de Citizen Kane d’Orson Welles (1940), la
visite d’un musée est-berlinois du Rideau déchiré d’Alfred Hitchcock (1965),
la forêt du Retour du Jedi (Richard Marquand, 1983) ou celle d’Avatar (James
Cameron, 2008)... Cet ouvrage propose une histoire de cette technique, de ses
ancêtres directs à ses différentes technologies cinématographiques. Il analyse
la façon dont les matte painters ont cherché et cherchent toujours à
introduire ce décor truqué en harmonie avec l’esthétique de la mise en scène.
Ainsi, par l’étude du Matte Painting, c’est le rôle des effets spéciaux au
cinéma qui est questionné, au moment où le numérique renouvelle les enjeux
même de l’illusion cinématographique.
S'identifier pour envoyer des commentaires.