- EAN13
- 9782376871606
- Éditeur
- Editions EMS – In Quarto SARL - Revue internationale P.M.E.
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Volume 31 numéro 2
Raymond Louis, Sophie Reboud, Manon Enjolras, Mauricio Camargo, Vincent Boly, Sophie Reboud, Thierry Serboff, Hervé Goy, Tim Mazzarol, Delwyn Clark, Kadia Georges Aka, François Labelle, Michel Trépanier, Gérard Akrikpan Kokou Dokou, Pascal Philippart, ...
Editions EMS – In Quarto SARL - Revue internationale P.M.E.
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782376871606
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
10.99
La production de connaissances sur les PME et l’entrepreneuriat résulte de
l’accomplissement par le chercheur de multiples tâches qui sont complexes,
hétérogènes et interdépendantes (Bonpunt et al., 2005). L’apprentissage du
métier de chercheur est ainsi un processus qui ne se conclut nullement par une
soutenance de thèse, mais qui nécessite plutôt plusieurs années d’essais et
d’erreurs (Daft, 1983), pour ne pas dire qu’il s’agit essentiellement d’un
apprentissage « sur le tas ». Mon propos dans cette chronique est simple, sans
prétention et purement subjectif, soit de témoigner des leçons que j’ai
apprises durant plus de 35 années d’exercice du métier de chercheur, du
premier article, dont j’ai été l’un des auteurs (Raymond et Magnenat-Thalmann,
1982), jusqu’au plus récent (Raymond, Uwizeyemungu, Fabi et St-Pierre, 2018).
J’ose ainsi espérer que d’autres chercheurs (en particulier ceux qui débutent
dans le métier) pourront tirer profit de mon apprentissage personnel,
nonobstant que cet apprentissage puisse, d’une façon ou d’une autre, aller à
l’encontre de « la grande transformation du métier de chercheur » qui est en
cours actuellement (Monin, 2017). Par ailleurs, je n’ai ici aucune visée
interprétative ni encore moins prescriptive de la réalité passée, présente ou
future des chercheurs qui liront cette chronique, que ces derniers soient en
début, milieu ou fin de carrière.
l’accomplissement par le chercheur de multiples tâches qui sont complexes,
hétérogènes et interdépendantes (Bonpunt et al., 2005). L’apprentissage du
métier de chercheur est ainsi un processus qui ne se conclut nullement par une
soutenance de thèse, mais qui nécessite plutôt plusieurs années d’essais et
d’erreurs (Daft, 1983), pour ne pas dire qu’il s’agit essentiellement d’un
apprentissage « sur le tas ». Mon propos dans cette chronique est simple, sans
prétention et purement subjectif, soit de témoigner des leçons que j’ai
apprises durant plus de 35 années d’exercice du métier de chercheur, du
premier article, dont j’ai été l’un des auteurs (Raymond et Magnenat-Thalmann,
1982), jusqu’au plus récent (Raymond, Uwizeyemungu, Fabi et St-Pierre, 2018).
J’ose ainsi espérer que d’autres chercheurs (en particulier ceux qui débutent
dans le métier) pourront tirer profit de mon apprentissage personnel,
nonobstant que cet apprentissage puisse, d’une façon ou d’une autre, aller à
l’encontre de « la grande transformation du métier de chercheur » qui est en
cours actuellement (Monin, 2017). Par ailleurs, je n’ai ici aucune visée
interprétative ni encore moins prescriptive de la réalité passée, présente ou
future des chercheurs qui liront cette chronique, que ces derniers soient en
début, milieu ou fin de carrière.
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