- EAN13
- 9782364903395
- Éditeur
- La Musardine
- Date de publication
- 28/12/2005
- Collection
- Lectures amoureuses
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782364903395
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
8.99
Imaginez deux jouvencelles, les meilleures amies du monde. L'une d'elles très
délurée, la coqueluche des garçons du collège, se livre avec eux à toutes
sortes de coquineries. L'autre donzelle, en revanche, ne tolère aucune
familiarité de la part de ses condisciples mâles.
Tout juste si elle accepte de flirter... et encore ! Du bout des doigts...
Et si les apparences étaient trompeuses ? Si la plus dévergondée des deux
n'était pas celle qui retire si souvent sa culotte au cinéma, ou en voiture...
Si la timide pécore qui rougit dès qu'on parle de sexe était au contraire un
monstre de perversité, si elle avait, vous n'allez pas me croire, eh bien si :
un " esclave sexuel " !
À elles deux, c'est à qui inventera les sévices les plus cruels (et les plus
délicieux) pour torturer et " utiliser " leur " homme à tout faire ". Est-ce
tout, me direz-vous ? Oh que non, ce n'est, là, comment dire, que la partie
apparente de l'iceberg...
Se souvenant de La Pharmacienne, son premier " roman porno-graphique ",
Esparbec nous livre ici un bouquin cochon comme on n'en fait plus depuis belle
lurette. Un de ces fameux livres à ne lire que d'une main, si vous voyez ce
que je veux dire. Attention : à déconseiller formellement aux esprits peu
éclairés et aux mères la vertu. Quant aux autres, qu'ils n'en abusent pas : à
consommer avec modération.
" Esparbec est au roman pornographique ce que Le Poulpe est à SAS : un anti-
Harlequin. Ici, on est dans le roman à testostérone. Une sorte de huis clos
obscène, porté par une écriture à la fois Grand Siècle et tout terrain. "
Rolling Stone
délurée, la coqueluche des garçons du collège, se livre avec eux à toutes
sortes de coquineries. L'autre donzelle, en revanche, ne tolère aucune
familiarité de la part de ses condisciples mâles.
Tout juste si elle accepte de flirter... et encore ! Du bout des doigts...
Et si les apparences étaient trompeuses ? Si la plus dévergondée des deux
n'était pas celle qui retire si souvent sa culotte au cinéma, ou en voiture...
Si la timide pécore qui rougit dès qu'on parle de sexe était au contraire un
monstre de perversité, si elle avait, vous n'allez pas me croire, eh bien si :
un " esclave sexuel " !
À elles deux, c'est à qui inventera les sévices les plus cruels (et les plus
délicieux) pour torturer et " utiliser " leur " homme à tout faire ". Est-ce
tout, me direz-vous ? Oh que non, ce n'est, là, comment dire, que la partie
apparente de l'iceberg...
Se souvenant de La Pharmacienne, son premier " roman porno-graphique ",
Esparbec nous livre ici un bouquin cochon comme on n'en fait plus depuis belle
lurette. Un de ces fameux livres à ne lire que d'une main, si vous voyez ce
que je veux dire. Attention : à déconseiller formellement aux esprits peu
éclairés et aux mères la vertu. Quant aux autres, qu'ils n'en abusent pas : à
consommer avec modération.
" Esparbec est au roman pornographique ce que Le Poulpe est à SAS : un anti-
Harlequin. Ici, on est dans le roman à testostérone. Une sorte de huis clos
obscène, porté par une écriture à la fois Grand Siècle et tout terrain. "
Rolling Stone
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