- EAN13
- 9782342057775
- Éditeur
- Société des écrivains
- Date de publication
- 10/11/2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782342057775
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier PDF, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
14.99
Autre version disponible
« Georges Grégoire m'avait bien prévenue ; il me le disait assez souvent, au
début, après la fichue guerre. Il fallait le prendre comme il était. Savoir à
quoi m'en tenir avec lui. Le laisser tomber si jamais je devais fléchir et que
ma passion pour lui connaisse, à la longue, quelques incertitudes, certaines
faiblesses, des peurs bleues et jaunes. Georges Grégoire pour le meilleur et
pour le pire... Mais quelle idée a-t-il donc eu de mourir à cinquante ans ? »
1959. Marguerite, veuve de Georges Grégoire, cohabite désormais avec Julie
Ortie. Chacune étant l'opposé de l'autre, elles se retrouvent néanmoins
réunies dans le chagrin, la pitié et la prospérité d'un futur évoluant dans
l'absence cruelle du mari pour l'une, de l'amant pour l'autre. Par l'histoire
de ces deux compagnes siamoises, Jocelyne Levrier-Thomson parcourt les
dernières décennies du siècle passé au fil des changements sociétaux d'une
France provinciale, profondément divisée entre libéralisme et traditions.
Mêlant romance, psychologie et chronique sociale, Une odeur de mardi s'impose
comme une riche étude de mœurs aux portraits de femmes savoureux et
terriblement justes.
début, après la fichue guerre. Il fallait le prendre comme il était. Savoir à
quoi m'en tenir avec lui. Le laisser tomber si jamais je devais fléchir et que
ma passion pour lui connaisse, à la longue, quelques incertitudes, certaines
faiblesses, des peurs bleues et jaunes. Georges Grégoire pour le meilleur et
pour le pire... Mais quelle idée a-t-il donc eu de mourir à cinquante ans ? »
1959. Marguerite, veuve de Georges Grégoire, cohabite désormais avec Julie
Ortie. Chacune étant l'opposé de l'autre, elles se retrouvent néanmoins
réunies dans le chagrin, la pitié et la prospérité d'un futur évoluant dans
l'absence cruelle du mari pour l'une, de l'amant pour l'autre. Par l'histoire
de ces deux compagnes siamoises, Jocelyne Levrier-Thomson parcourt les
dernières décennies du siècle passé au fil des changements sociétaux d'une
France provinciale, profondément divisée entre libéralisme et traditions.
Mêlant romance, psychologie et chronique sociale, Une odeur de mardi s'impose
comme une riche étude de mœurs aux portraits de femmes savoureux et
terriblement justes.
S'identifier pour envoyer des commentaires.